Correspondance de 4 lettres de Claude Terrasse, au sujet d’une collaboration :

24 mars 1899. «Je mène une vie stupide en ce moment […°, je ne quitte plus l’église. Venez donc à la Trinité, au choeur de chant 1e étage, lundi au mardi entre 4 et 5h. Nous pouvons bavarder 3 bons quart d’heure à notre aise […]».

10 juin 1899. Il accepte l’affaire et lui propose un rendez-vous.

Noisy-le-Grand, sans date : il lui donne un nouveau rendez-vous au café Napoli, bd des Italiens.

4 avril 1900. «Je viens de recevoir aujourd’hui seulement la réponse et le poème que vous m’avez apporté, que j’avais confié à l’intéressée – ça ne colle pas ; on trouve ça un peu trop Théâtre libre. Je n’ai pas vu encore Bodinier, mais je vous promets que dès que j’aurai fait sa connaissance je lui remettrai le manuscrit que vous m’avez confié […]».